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Dans l’étude citée, la souffrance chronique était-elle présente dans les deux groupes (consommateur d’alcool / non consommateur) ?
Je reformule ma question : La souffrance chronique était-elle un critère d’intégration dans l’étude citée ? Si oui, existe-t-il d’autres études montrant que l’alcool consommé modérément est également protecteur pour les non souffrants (c’est à dire pour les humains ayant un mode de vie écartant la souffrance) ?
Bonjour Dr,
Savez-vous si l’étude américaine avait écarté du groupe « sans alcool » les anciens alcooliques, qui ne boivent plus du tout mais peuvent avoir des séquelles cardio-vasculaires de leur ancienne addiction ? Merci.
Elisabeth (regenere@free.fr)
Merci pour ces indications précises et précieuses.
Que pensez du SULFITES ajoutés même en biologique et qui me vide de mon énergie et m épuisé physiquement et mentalement.
Physiologiquement pouvez vous nous expliquer l effet de cette substance utilisée si couramment dans di ers produits, moutardes.. vinaigre….
Merci pour votre éclairage.