Antidépresseur : accélérateur de mort subite ?

5 commentaires sur « Antidépresseur : accélérateur de mort subite ? »

  1. Joel Oosterlinck Jooster Selas dit :

    je suis MG , depuis de nombreuses années je m’interdis de prescrire des médicaments antidépresseurs. Si probleme grave j’adresse au psy. De Plus selon Peter Gotsche il est souvent impossible de sevrer les patients quand ils ont déjà plus de 6 mois à un an de traitement. et celà je l’ai consaté moi-même
    sans compter le risque suicidaire chez les jeunes. Pour cette raison je n’y touche jamais , d’autant que les psychologues cliniciens parviennent souvent à traiter les patients sans médicaments antidépresseurs.
    les études que vous avez présentées me donnent un argument supplémentaire pour m’abstenir

  2. Indigène dit :

    Lumière du jour,
    Merci de mettre sur la piste à explorer en cas de dépression : comment fonctionne le système nerveux autonome ?
    Peut-être qu’en cas de dépression, accablé par la souffrance suscitée par la violence relationnelle dans nos sociétés, l’humain a un système nerveux autonome complètement dérégulé ? Sous le joug de la brutalité, son système nerveux volontaire ne laisserait plus de place à l’écoute du ressenti corporel et psychique, à la satisfaction des besoins naturels essentiels à la vie, à l’attention au milieu spontané qui nous nourrit. Son système nerveux volontaire serait détourné de la symbiose avec le milieu naturel universel. Le système nerveux autonome s’en trouverait alors dérégulé.
    Or, dans la vidéo précédente du 7 mai 2025, intitulée  » Réponse numéro 29″, vous indiquez : dérégulation du système nerveux autonome = dérégulation de l’endothélium et donc risque de thrombose. Ce serait donc ainsi que l’humain en dépression risquerait la mort subite ?
    Dans « Comment échapper à l’infarctus et l’AVC », vous indiquez comment explorer le système nerveux autonome : par la mesure ambulatoire de la pression artérielle avec un holter de 24 heures ; et de regarder comment évolue la pression artérielle au cours du nycthémère.
    Est-ce que la pression artérielle diminue durant la nuit (dipper) ? L’humain vit alors en symbiose avec le milieu spontané.
    Est-ce que la pression artérielle ne diminue pas durant la nuit (non dipper), ou même pire augmente durant la nuit (dipper paradoxal) ? La vie en symbiose avec le milieu spontané est alors court-circuitée.
    Chez le dipper, le système sympathique laisse le système parasympathique reposer l’humain. Chez le non dipper et le dipper paradoxal, le système sympathique garde le dessus du jour sur le système parasympathique, et l’humain ne trouve pas le repos de la nuit.
    Vous écrivez à la page 64 de « Comment échapper à l’infarctus et l’AVC » : « Certains praticiens ont noté l’importance des émotions, du stress et des souffrances psychosociales lors des complications cardiovasculaires » et à la page 66 que le yoga et la méditation sont idéaux pour reconditionner le système nerveux autonome.
    Or, la méditation c’est être à l’écoute de son corps, de son psychisme et du milieu du plus proche au plus lointain. Méditer c’est ressentir l’équilibre et l’harmonie arrivés depuis l’Infini. Méditer c’est en fait lâcher prise à chaque instant. C’est se laisser porter par le grand mouvement de l’Univers.
    Il y a plusieurs années de cela, je me souviens avoir lu ou entendu qu’en cas de dépression, la méditation était à indiquer avec prudence et que cette indication relevait des psychiatres. Pourquoi ? Serait-il dangereux de venir en aide aux humains souffrants ?

  3. Albatross dit :

    Il serait sans doute intéressant de scruter ces études (en particulier celle avec les 56% et la notion d’effet-dose) à l’aides des autres critères de Hill.

  4. FRANÇOISE ROBERT dit :

    Bonsoir docteur, j’ai écouté avec beaucoup d’intérêt votre vidéo même si personnellement je n’ai jamais pris d’anti-dépresseur. J’ai 67 ans et c’est vrai que dans les années 80-90 (lorsque j’étais plus jeune!) on ne prescrivait que rarement des anti-dépresseurs et pourtant les gens traversaient aussi de terribles épreuves. C’est vrai que la question m’est apparu pertinente quant à la prescription abusive d’anti-dépresseurs de nos jours. Je me moque peut-être un peu, mais vous perdez votre chat hop « anti-dépresseur » … ! Merci pour vos conseils et recherches. Cordialement. Françoise ROBERT.

  5. Sylviane Gril dit :

    Bonjour! Ok pour l étude mais y a t il des différences entre les antidépresseurs irs irsna ou les tricycliques?merci beaucoup !

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