L’activité physique liée à la profession est-elle bonne ou mauvaise pour la santé ?

5 commentaires sur « L’activité physique liée à la profession est-elle bonne ou mauvaise pour la santé ? »

  1. PIERRE VINCENT dit :

    Merci beaucoup pour cette vidéo. Des études complémentaires pourraient indiquer l’influence de l’importance des conditions de travail sur la santé ?
    par exemple si vous travaillez au milieux de produits chimiques (peintres, travaux publics) , l’incidence du bruit (personnel de restaurant scolaires animateurs, personnel de cours…), horaires décalés (aide soignante, infirmière, ouvriers en trois 8) et ironie les personnes toujours debout ( personnels travaillant dans les commerces et notamment dans les pharmacies) etc…
    Et la résistance à une vrai prévention dans le milieux du travail ?

  2. Pierre Cauvin dit :

    Pour voir si j’ai bien compris !
    J’ai une activité professionnelle sédentaire. Mon jardin est à la fois un loisir et une activité. Arracher les mauvaises herbes (pas de round up) est une activité physique qui peut être intense ; mais sur le plan cardiovasculaire, elle ne m’apporte rien (bpm aux environs de 80). En revanche quand je fais 3 kilomètres en marchant d’un pas vif avec ma tondeuse (électrique), c’est bon pour le coeur (bpm 95/100). Exact ?
    Si oui, les jours où j’arrache les mauvaises herbes, je dois aussi pédaler…

  3. ELENA LLOBERA MICHELÓN dit :

    Vos commentaires sont vrais mes il faudrait expluquer aux personnes qui font de l’exercice en travaillant qu’il faudrait appluquer les normes de sécurité comme par exemple, pour soulever un poids lourd, fléchir les jambes et maintenir le dos droit, etc… Et si l’exercice est répétitif, après le travail, faire les exercices contraires.
    Saluts

  4. Valérie Boissé dit :

    Y aurait-il aussi une question de contrainte générant du stress ? Une activité physique professionnelle n’amène probablement pas à trouver le même état de détente qu’une activité physique pratiquée spontanément hors du cadre professionnel.

  5. ROGER HOFER dit :

    Bonjour ,

    Le sujet me passionne.
    Je ne suis pas un scientifique mais j´observe beaucoup .ce qui m´intéresse le plus sont justement les paradoxes .
    Voici une très ancienne étude qui nous parle des chauffeurs et des contrôleurs de bus anglais .
    Vous pouvez partager un article en cliquant sur les icônes de partage en haut à droite de celui-ci.
    La reproduction totale ou partielle d’un article, sans l’autorisation écrite et préalable du Monde, est strictement interdite.
    Pour plus d’informations, consultez nos conditions générales de vente.
    Pour toute demande d’autorisation, contactez syndication@lemonde.fr.
    En tant qu’abonné, vous pouvez offrir jusqu’à cinq articles par mois à l’un de vos proches grâce à la fonctionnalité « Offrir un article ».

    https://www.lemonde.fr/sciences/article/2017/08/22/le-bus-a-imperiale-le-controleur-et-l-epidemiologiste_5174996_1650684.html

    Navigation
    Le Monde – retour à la une
    Se connecter
    S’abonner
    OFFRIR LE MONDE
    SCIENCES
    Le bus à impériale, le contrôleur et l’épidémiologiste
    Dix mille pas et plus. En comparant le travail des contrôleurs des bus à celui des chauffeurs, un médecin a prouvé, en 1949, que les infarctus sont moins fréquents chez les personnes qui pratiquent une activité physique régulière.

    Par Sandrine Cabut 
    Publié le 22 août 2017 à 08h00, modifié le 22 août 2017 à 08h00
    Temps deLecture 2 min.
    Ajouter à vos sélections

    Partager
    Article réservé aux abonnés

    Les contrôleurs des « double-deckers » sont moins concernés par les infarctus  que leurs collègues chauffeurs, selon une étude  de l’épidémiologiste britannique Jeremy Morris. ODD ANDERSEN / AFP
    La plupart des médicaments naissent dans des laboratoires. Mais c’est dans un bus à impériale londonien qu’a été découvert le plus puissant d’entre eux : l’exercice physique.

    Tout a commencé après la seconde guerre mondiale, avec l’étonnante enquête d’un épidémiologiste britannique, Jeremy Morris. A l’aube des années 1950, médecins et chercheurs s’inquiètent des maladies cardiovasculaires, qui font de plus en plus de ravages, mais restent mal connues. Pourquoi les artères, et surtout les coronaires – les vaisseaux nourriciers du cœur –, s’encrassent-elles, conduisant à des accidents à l’époque bien souvent mortels, les infarctus du myocarde ?

    On peut aussi parler de l´effet Roseto, du nom d´une petite ville de pennsylvanie et qui met en lumière les effets du tissu social sur la santé des membres d´une communauté.

    Les bergers d´un petit village sarde répertorié dans les fameuses zones bleues vivent plus longtemps que leurs épouses.
    L´explication tiendrait au fait que les hommes parcoureraient 10 kms par jours dans la montagne alors que leurs épouses se contenteraient de faire la cuisine .

    Pour terminer, j´ai toujours été intimement convaincu de l´efficacité d´un exercice librement consenti et empreint de plaisir .
    Être obligé de marcher sous la pluie en hiver pour aller chez le médecin avec un enfant en bas âge et marcher le dimanche matin , juste pour le plaisir ce n´est pas du tout la même chose …
    Je le sais , puisque je l´ai fait .
    Dans les deux cas , on marche , mais l´effet n´est pas le même.
    Prendre du plaisir dans une activité, c´est bon pour les hormones et la santé en général.

    Toujours heureux de vous lire .

    Roger

Laisser un commentaire

En laissant un commentaire, j'accepte que mon témoignage soit utilisé par Total Santé Publications de manière anonyme à des fins éditoriales et potentiellement commerciales.

Voir si des réponses à ma question ont déjà été apportées